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Lundi 7 mai 2007, Îles Féroé
Réveil au petit matin, il faut se tenir prés si je veux faire escale avec la moto dans les Îles Féroé.
6h00 je suis sur le pont, rasé, douché, café.
Forcément, les manœuvres d’accostage, le temps que tout le monde descende… Ça prend du temps. Du temps que je passe à discuter avec un Féroïen, qui vit Danemark et reviens en vacances sur ses îles natales, c’est un motard, il me donne les bons coins à ne pas rater, vu que l’escale ne dure que 12h00 il ne faut pas se tromper. |
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Un temps couvert au début, je fais le tour de la première île. Petite excursion improvisée au sommet d’une montagne, par une route très étroite au bitume tout neuf : en haut, à 1200m il neige, et il fait 0°. |
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Je redescend vite, et continu mon exploration, sur une seconde île, la pluie se met a être plus violente, je cherche un café ou une station service pour me réchauffer avec un « bon » café.
Rien du tout, les villages n’ont aucun commerce, je me résigne à retourner au port d’attache du bateau. |
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Dans une galerie commerçante (assez inattendu, par rapport au reste des îles) un café sert de véritable café espresso, un bonheur, ça faisait une semaine que je l’attendais. Dans la galerie, je retrouve mes amis marseillais, on passe un moment au café puis au fast food voisin (pas très fast, la food). |
Le soleil se montre généreux, une petite excursion à pied en ville puis je repars en balade les paysages sont magnifiques. |
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Je fais la rencontre de monsieur « le capitaine », je ne sais pas si il a bu, ou si il est simplement super gentil, mais il veut me donner sa fortune, me raconter sa vie, me payer un coup à boire… j’ai pas le temps le bateau ne va pas tarder à lever l’encre, il faut que j’y retourne. |

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Su le conseil avisé du féroïen avec j’ai discuté ce matin, je négocie un sur-classement, et obtiens une couchette bien plus confortable dans les hauteurs du bateau, avec sanitaire et TV.
On passe la soirée au piano-bar, tranquille, mais ça bouge encore un peu, Aurélie, à du mal à garder le sourire : il ne faut pas qu’elle regarde la mer. |
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